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Si pour wikipédia,une opération est avant tout un concept mathématique,en chirurgie le terme opération est le plus fréquemment représenté par l'action LIPOSUCCION !!

Technique de liposuccion :

Les techniques de liposuccion se sont beaucoup développées ces dernières années.


Depuis leur introduction par Y.G. ILLOUZ dans les années 80, il a semblé que d’autres méthodes avaient supplanté la liposuccion : l’utilisation des ultra-sons, l’utilisation du laser,des tentatives de faire fondre la graisse par des injections médicamenteuse percutanées, régimes,froid(cryolipolyse) etc…

Ces essais thérapeutiques butent sur un phénomène très particulier : la résistance des cellules graisseuses profondes , qui sont hypertrophiées par un contenu hyper graisseux les transformant en cellules obèses:
elles ne peuvent être vidées autrement que par le maniement d’une microcanule relée à un aspirateur:on peut ainsi va perforer leur paroi, en aspirer le contenu et par là même détruire la cellule productrice.

Mais la liposuccion, même bien pratiquée ne détruit pas toutes les cellules graisseuses : en effet, certaines cellules qui ont le potentiel de devenir des adipocytes gras, sont maigres au moment de la première liposuccion, puisqu’elles sont écrasées par leurs voisines.
c'est pourquoi ,dans un nombre non négligeable de cas,une récidive se produit dans les mois qui suivent une première liposuccion ,même bien réussie!
Des adipocytes qui étaient restés muets pendant des années se mettent soudain à regrossir après une liposuccion,du fait que les cellules voisines leur ont fait de la place,puisque détruites!!
ci dessous ,un exemple de liposuccion pas trop mal en une séance:

liposuccion_avant_apres_1
Elles peuvent donc être se re-développer et re-stocker, imposant une retouche chirurgicale entre 6 mois et 1 an après la première opération.

D’où l’importance fondamentale d’encadrer la liposuccion par un régime alimentaire qui doit précéder et suivre l’acte opératoire.

L’association des ces deux méthodes permet de contenir autant que faire se peut la poussée des graisses profondes qui sont orientées et développées par la pression génétique.

Par ailleurs, il ne faut pas confondre la liposuccion avec une alternative chirurgicale telles les anneaux gastriques ou les by-pass qui sont des opérations chirurgicales lourdes, et qui permettent de perdre jusqu’à 60, 80 ou 100 kilos après l’acte opératoire.

Ces opérations destinées aux très grands obèses, permettent de leur sauver la vie, mais entraînent des conséquences inesthétiques importantes sous la forme d’excédent cutané.

Toutefois les graisses profondes ne disparaissent pas après les actes opératoires majeures, tels les by-pass ou agrafages gastriques.

Bien souvent, il sera nécessaire d’associer une liposuccion aux traitements de re-drapage cutané, une fois que ces grands amaigrissements massifs auront été obtenus chez ces patients.


Ainsi la place de la liposuccion reste tout à fait fondamentale dans l’arsenal thérapeutique du chirurgien esthétique.

ci dessous un cas de réduction spectaculaire chez la même patiente,avec toutefois un excédent cutané indiscutatbe sur les cuisses ,mais la patiente est satisfaite  car elle peut mieux se vêtir!!

une lipostructure(greffe de sa propre graisse dans le creux des hanches)a été aussi utilisée dans ce cas:

AVANT   APRES
Thumbnail image   Thumbnail image

                                                                                                             en matière de liposuccion
Il s’agit bien d’une opération, car même pour une opération de liposuccion légère sur un seul site, le fait de perforer la peau et d’aller en profondeur comporte un certain nombre d’inconvénients, de risques et de complications : infections, irrégularités cutanées, insuffisance d’ablation graisseuse, mauvaise répartition de la liposuccion etc…

Aussi la responsabilité du chirurgien étant engagée, cela justifie une information préalable, une bonne analyse de chaque cas, une grande disponibilité du praticien qui va pratiquer ce geste opératoire.

Ceci dit, la liposuccion garde son caractère extraordinaire et magique qu’Y.G.ILLOUZ,inventeur de la méthode et chirurgien français contemporain, a imaginé d’une façon merveilleuse : une opération à grande conséquence volumétrique au travers de toutes petites incisions quasiment invisibles ! C’est l’illustration même de la chirurgie esthétique triomphante des années 2000 !

Un article est abordé sur mon site officiel (www.vladimir-mitz.com) que vous pouvez consulter ici ou aux pages ci-dessous.
voici une vidéo Viméo montrant un résultat habituel avant après:

liposuccion du corps avant-après, explications par vladimir mitz from mitz vladimir on Vimeo.

 

la lipostructure ou lipofilling est une avancée importante dans le comblement ou la reconstruction par autogreffe graisseuse:

 

 

 
 
De reponsable de bourrelets haissables quand mal situés, la graisse est devenue une mine dans laquelle les chirurgiens réparateurs et esthétiques vont aspirer en douceur des cellule souches et des adipocytes capables de resurfacer et de combler des pertes de substance tissulaire; C'est ainsi qu'on peut reconstruire un sein après cancer en évitant lambeaux et prothèses, ou combler des sillons nasogéniens, augmenter des pommettes ou des lèvres trop fines.
Depuis les années 1980, quang le dr YVES GERARD ILLOUZ, inventeur de la méthode, était venu faire une démonstration dans le service de RAYMOND VILAIN, fondateur de la consultation de la silhouette à l'hopital Boucicaut, les techniques n'ont que peu évolué: 30 à 50% des cellules survivent, obligeant parfois à 2 ou 3 sessions opératoires; mais le résultat "écologique"(vos cellules pour vous seule!) est très valorisant et efficace;
ainsi a t on enfin une source de tissu régénérateur, sauf chez les patientes trop "minces"..

 

ci dessous un exemple de liposuccion des bouées et du ventre chez l'homme:


liposuccion des bouées et du ventre, avant... par docmitz

 

Parfois la lipo permet de soulager un LYMPHOEDEME CONGENITAL OU ACQUIS !!
on parle alors de lympholiposuccion

 

Dans certains cas,un lipofilling ou greffe de sa propre graisse pourra être pratiqué pour corriger des petites imperfections ou augmenter des zones corporelles en creux ! 

Cette méthode est précieuse et maintenant validée pour éventuellement augmenter une poitrine déficiente!!

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ET la cryolipolyse, docteur mitz?

Nouveautés en chirurgie esthétique 2017 mois de mai
 
la cryolipolyse est en question
 
Des travaux récents semblent  montrer qu'il existe un potentiel de diminution des graisses  profondes par application de cryolipolyse.
Le principe de la cryolipolyse est de refroidir les cellules graisseuses profondes par le biais d'une poche glacée, appliquée suffisamment longtemps sur la peau, en regard des bosselures à éliminer. 
 Attention toutefois à ne pas appliquer directement les poches glacées sur la peau elle-même, mais par l'intermédiaire d'une membrane protectrice spéciale.
Certaines patient se plaignent de douleurs  particulièrement Intenses, d'autres supportent gaillardement cette application glacée en lisant ou en regardant la télévision.
Les résultats apparaissent progressivement, mais il faut compter plusieurs mois avant un aspect définitif, très souvent favorable quand on lit sur les forums les témoignages des patients qui ont subi la cryolipolyse.
 Si l'on met en balance  les résultats obtenus par la liposuccion classique, on peut affirmer que cette méthode chirurgicale plus ancienne donnera des résultats  plus définitifs et plus rapidement par rapport à la cryolipolyse-mais au prix d’une opération sous anesthésie.
Toutefois, il faut considérer non seulement le coût des procédés respectifs, qui sont en définitive à peu près équivalents, mais aussi la fiabilité de la méthode et l'absence d'effets secondaires indésirables: gelures cutanées, résidus d’amas fibreux et bosses après certaines cryolipolyses!.
Pour moi, résoudre le problème du surplus graisseux en une séance opératoire et de façon contrôlée m'apparaît plus satisfaisant. Je reste donc fidèle à la canule aspiratrice et à la méthode D’Illouz !
 
 

une explication sur youtube: https://youtu.be/xzeQoNf4wTU

 

Enfin pour plus d'infos,voici le lien pour les infos de la SOFCPRE :

 
Version 3 mise à jour nov 2011
 
Information délivrée le : Cachet du Médecin :dr mitz vladimir
 
 
Cette fiche d’information a été conçue sous l’égide de la Société Française de Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique (SOF.CPRE) comme un complément à votre première consultation, pour tenter de répondre à toutes les questions que vous pouvez vous poser si vous envisagez d’avoir recours à une lipoaspiration.
 
Le but de ce document est de vous apporter tous les éléments d’information nécessaires et indispensables pour vous permettre de prendre votre décision en parfaite connaissance de cause. Aussi vous est-il conseillé de le lire avec la plus grande attention.
 
Les récents progrès, notamment dans le domaine de la liposuccion superficielle, grâce à l’utilisation de canules très fines font que la peau sus-jacente à la zone traitée n’a plus à souffrir de la lipoaspiration : au contraire,
l’aspect de la peau peut être amélioré par la rétraction cutanée que génère une lipoaspiration superficielle correctement réalisée.
 
DÉFINITION, OBJECTIFS ET PRINCIPES
 
Ces surcharges graisseuses localisées ne disparaissent pas, en règle générale, malgré un régime alimentaire ou l’exercice physique.
 
Par contre, la lipoaspiration ne constitue pas une méthode d’amaigrissement et son but n’est donc pas de maîtriser le poids du patient ou de la patiente : ainsi une lipoaspiration correctement réalisée ne permettra pas de faire l’économie d’une amélioration de l’hygiène de vie. La lipoaspiration ne constitue pas le traitement de l’obésité.
 
Le principe de la lipoaspiration (mis au point à partir de 1977 par Yves-Gérard ILLOUZ) est d’introduire, à partir de très petites incisions, des canules mousses, à bout arrondi, non tranchant, perforées à leur extrémité de plusieurs orifices. Ces canules seront connectées à un circuit fermé dans lequel sera créé une pression négative.
 
C’est ainsi que sera possible l’aspiration harmonieuse et non traumatisante des cellules graisseuses en surnombre.
 
Dans la mesure où ces cellules graisseuses n’ont pas la faculté de se re-multiplier, il n’y aura pas de récidive de cette surpopulation d’adipocytes.
 
En pratique, la lipoaspiration peut s’appliquer à un grand nombre de région du corps : « la culotte de cheval » bien sûr, mais aussi les hanches, l’abdomen, les cuisses, les genoux, les mollets, les chevilles, les bras, le dos. Les améliorations techniques ont aussi permis d’étendre son action au niveau du visage et du cou (double menton, ovale du visage).
 
La lipoaspiration permet de supprimer radicalement et définitivement les surcharges de graisse localisées.
 
 
 
Société Française de Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique
 
 
 
1/ Cependant, il faut garder à l’esprit que la lipoaspiration, malgré son extrême banalisation au cours de ces dernières années, doit toujours être considérée comme
 
une véritable intervention chirurgicale qui ne peut être légalement pratiquée en France que par un chirurgien plasticien compétent et qualifié, formé spécifiquement à ce type de technique et exerçant dans un contexte réellement chirurgical.
 
Le traitement de telles surcharges graisseuses localisées ne justifie pas une prise en charge par l’assurance maladie.
 
 
AVANT L’INTERVENTION
 
Un bilan pré-opératoire est réalisé conformément aux prescriptions.
 
Le médecin-anesthésiste sera vu en consultation au plus tard 48 heures avant l’intervention.
 
Le tabac ne constitue pas une contre-indication formelle mais son arrêt un mois avant l’intervention est recommandé compte-tenu de son incidence néfaste sur la cicatrisation.
 
L’arrêt d’une éventuelle contraception orale peut être requis, notamment en cas de facteurs de risques associés (obésité, mauvais état veineux, trouble de la coagulation).
 
Aucun médicament contenant de l’aspirine ne devra être pris dans les 10 jours précédant l’intervention.
 
En fonction du type d’anesthésie, on pourra vous demander de rester à jeun (ne rien manger ni boire) 6 heures avant l’intervention.
 
 
TYPE D’ANESTHÉSIE
 
ET MODALITÉS D’HOSPITALISATION
 
Type d’anesthésie :
La lipoaspiration peut être réalisée, selon les cas et l’importance des zones à traiter, soit sous anesthésie locale, soit sous anesthésie locale approfondie par des tranquillisants administrés par voie intra-veineuse (anesthésie « vigile »), soit sous anesthésie générale, éventuellement sous anesthésie loco-régionale (péridurale ou rachi-anesthésie).
 
Le choix entre ces différentes techniques sera le fruit d’une discussion entre vous, le chirurgien et l’anesthésiste.
 
Modalités d’hospitalisation :
La durée de l’hospitalisation est fonction de la quantité de graisse extraite. Elle peut être courte, de l’ordre de quelques heures pour de petites lipoaspirations (lorsqu’on a eu recours à une anesthésie locale). Elle sera de 1 ou 2 jours en cas de lipoaspiration plus importante (réalisée sous anesthésie générale).
 
L’INTERVENTION
 
Chaque chirurgien adopte une technique qui lui est propre et qu’il adapte à chaque cas pour obtenir les meilleurs résultats. Toutefois, on peut retenir des principes de base communs :
 
Les incisions sont courtes (de l’ordre de 3 ou 4 millimètres) et discrètes, car le plus souvent cachées dans un pli naturel.
 
Dans certains cas votre chirurgien pourra vous proposer une lipoaspiration «assistée» (canules motorisées, canules vibrantes, couplage à une radiofréquence etc.) censée améliorer le résultat sur des peaux très relâchées ou très infiltrées de cellulite. Leur efficacité réelle reste encore controversée, mais elles pourraient apporter un «plus» dans certaines indications.
 
La quantité de graisse extraite devra bien sûr être adaptée à la qualité de la peau sus-jacente qui constitue l’un des facteurs déterminant pour la qualité du résultat.
 
En fin d’intervention une compression modelante visant à limiter l’oedème post opératoire est realisée le plus souvent à l’aide d’un panty adapté ou de bandes élastiques.
 
La durée de l’intervention est fonction de la quantité de graisse à extraire et du nombre de localisations à traiter. Elle peut varier de 20 minutes à 3 heures (en moyenne 1 à 2 heures).
 
 
APRÈS L’INTERVENTION : LES SUITES OPÉRATOIRES
 
Il convient de noter que le temps nécessaire pour récupérer et se remettre d’une lipoaspiration est proportionnel à la quantité de graisse extraite.
 
Dans les suites opératoires, des ecchymoses (bleus) et un oedème (gonflement) apparaissent au niveau des régions traitées.
 
Les douleurs sont variables, mais elles sont en règle générale peu importantes, grâce à l’utilisation des canules très fines.
 
Une fatigue peut être ressentie les premiers jours, surtout en cas d’extraction graisseuse importante.
 
Une activité normale pourra être reprise 2 à 10 jours après l’intervention, là aussi en fonction de l’importance de la lipoaspiration et du type d’activité professionnelle.
 
Les ecchymoses se résorbent dans un délai de 10 à 20 jours après l’intervention.
 
Le port d’un vêtement de contention élastique est conseillé pendant 2 à 4 semaines.
 
On peut prévoir une reprise de l’activité sportive 3 semaines après l’intervention.
 
Il conviendra de ne pas exposer au soleil ou aux U.V. les régions opérées avant au moins 3 semaines.
 
Il n’y a pas de modification nette de l’aspect au cours des 2 à 3 premières semaines, dans la mesure où il existe au début un gonflement post-opératoire des tissus opérés (oedème).
 
Dans certains cas il est possible de profiter de l’extraction de ce tissu naturel qu’est la graisse pour re-galber certaines régions jugées insuffisamment galbées (visage, fesses, mains, seins-encore très discuté sauf en cas de reconstruction après cancer). Si cette option vous intéresse, discutez-en à l’avance avec votre chirurgien car toutes les hypothèses ne sont pas forcément envisageables (voir «ré-injection de graisse autologue ou lipostructure).
 
C’est seulement au bout de 3 semaines, et après la résorption de cet oedème, que le résultat commencera à apparaître. La peau mettra environ 3 à 6 mois pour se rétracter complètement sur les nouveaux galbes et se réadapter à la nouvelle silhouette.
 
 
Société Française de Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique
 
 
 
LE RÉSULTAT
 
Apprécié de façon définitive dans un délai de 6 mois après l’intervention, il est le plus souvent satisfaisant, chaque fois que l’indication et la technique ont été correctes : la lipoaspiration aura permis de faire disparaître définitivement les surcharges de graisse localisées, tout en entraînant une rétraction appréciable de la peau.
 
Le but de cette chirurgie est d’apporter une amélioration et non pas d’atteindre la perfection. Si vos souhaits sont réalistes, le résultat obtenu devrait vous donner une grande satisfaction.
 
 
LES IMPERFECTIONS DE RESULTAT
 
 
Nous avons vu que, le plus souvent une lipoaspiration correctement indiquée et réalisée, rendait un réel service au patient(e), avec l’obtention d’un résultat satisfaisant et conforme à ce qui était attendu.
 
 
Dans quelques cas, des imperfections localisées peuvent être observées, sans qu’elles ne constituent de réelles complications : insuffisance de correction, asymétrie résiduelle, irrégularités de surface. Elles sont, en règle générale, accessibles à un traitement complémentaire : petite « retouche » de lipoaspiration souvent réalisée sous simple anesthésie locale à partir du 6ème mois post-opératoire.
 
LES COMPLICATIONS ENVISAGEABLES
 
Une lipoaspiration, bien que réalisée pour des motivations essentiellement esthétiques, n’en reste pas moins une véritable intervention chirurgicale, ce qui implique les risques liés à tout acte médical, aussi minime soit-il.
 
Il faut distinguer les complications liées à l’anesthésie de celles liées au geste chirurgical.
 
En ce qui concerne l’anesthésie, lors de la consultation, le médecin anesthésiste informera lui-même le patient des risques anesthésiques. Il faut savoir que l’anesthésie induit dans l’organisme des réactions parfois imprévisibles, et plus ou moins faciles à maîtriser : le fait d’avoir recours à un Anesthésiste parfaitement compétent, exerçant dans un contexte réellement chirurgical (salle de réveil, possibilité de réanimation) fait que les risques encourus sont devenus statistiquement très faibles.
 
Il faut savoir, en effet, que les techniques, les produits anesthésiques et les méthodes de surveillance ont fait d’immenses progrès ces trente dernières années, offrant une sécurité optimale, surtout quand l’intervention est réalisée en dehors de l’urgence et chez une personne en bonne santé.
 
En ce qui concerne le geste chirurgical : en choisissant un Chirurgien Plasticien qualifié et compétent, formé à ce type d’intervention, vous limitez au maximum ces risques, sans toutefois les supprimer complètement.
 
Les vraies complications sont exceptionnelles après une lipoaspiration de qualité : une grande rigueur dans le choix de l’indication et la réalisation chirurgicale doit assurer en pratique une prévention efficace et réelle.
 
Pour être complet, il faut cependant citer, malgré leur grande rareté habituelle :
 
  • Les accidents thrombo-emboliques (phlébite,embolie pulmonaire) qui sont la complication la plus grave. Leur risque de survenue est augmenté si un tel accident figure dans les antécédents du patient. Le port de bas anti-thrombose, le lever précoce et un éventuel traitement anti-coagulant contribuent à réduire ce risque.
  • Les saignements sont rarement sérieux, sauf trouble de la coagulation associé.
  • Hématome et épanchement lymphatique apparaissent exceptionnellement au décours d’une lipoaspiration correctement réalisée.
  • De même, les nécroses cutanées localisées, qui allongent le délai de cicatrisation et peuvent laisser des cicatrices, ne devraient plus être observées.
  • L'infection en fait rarissime dans ce type de chirurgie dite «fermée» peut être prévenue par la prescription d’un traitement antibiotique prophylactique.
  • Enfin des perturbations métaboliques ou des anémies ont pu être observées au décours de lipoaspirations excessives en quantité.
 
Au total, il ne faut pas surévaluer les risques, mais simplement prendre conscience qu’une intervention chirurgicale, même apparemment simple, comporte toujours une petite part d’aléas.
 
Le recours à un Chirurgien Plasticien qualifié vous assure que celui-ci a la formation et la compétence requises pour savoir éviter ces complications, où les traiter efficacement le cas échéant.
 
 
REMARQUES PERSONNELLES :
 
 
Tels sont les éléments d’information que nous souhaitions vous apporter en complément à la consultation. Nous vous conseillons de conserver ce document, de le relire après la consultation et d’y réfléchir « à tête reposée ».
 
Cette réflexion suscitera peut-être de nouvelles questions, pour lesquelles vous attendrez des informations complémentaires. Nous sommes à votre disposition pour en reparler au cours d’une prochaine consultation, ou bien par téléphone, voire le jour même de l’intervention où nous nous reverrons, de toute manière, avant l’anesthésie.
 
 
 
Société Française de Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique
 
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            La liposuccion,dessin humoristique vladimir mitz